À travers notre travail de relations publiques, nous touchons chaque jour des centaines de milliers de personnes dans le monde entier. Et la tendance est à la hausse. Tous nos services visent à fortifier la société dans les domaines religieux aussi bien que sociaux, culturels et politiques. Pour permettre la collaboration de milliers de bénévoles du monde entier, dans des centaines de domaines de service différents, nous exploitons des dizaines de systèmes informatiques internes en plus des sites web publics.

Ce n’est pas nouveau pour moi que toutes nos activités dérangent énormément certains cercles. J’ai grandi en sachant cela. Mais qu’il y ait des gens qui ne ménagent ni leur énergie, ni leur temps, ni leur argent pour nous éliminer au moyen des tactiques les plus criminelles, là j’ai eu beaucoup à apprendre ces derniers mois… Notre infrastructure informa­tique, nos serveurs et nos ordinateurs sont depuis neuf semaines, nuit et jour, sous le feu constant de collectifs de pirates. Cela fait à ce jour plus de 63 jours, soit plus de 1 512 heures de piratage.

Le 31 janvier 2020 déjà, lors d’une attaque de pirates informatiques à grande échelle, toutes les bases de données de 11 700 émissions de télévision ont été supprimées. La perte de données a été restaurée ra­pidement. Mais ce n’était que le début… Pendant les mois d’été, des cercles de hackers anonymes ont utilisé toute leur énergie criminelle pour détruire tout ce que nous avions accumulé ces dernières années sur les sites web publics et internes. Le 19 juillet 2020, premier jour des attaques, a dû être précédé de plusieurs semaines de recherches inten­sives et d’acquisition illégale d’informations via notre infrastructure technique informatique. Leurs messages menaçants étaient sans équivoque. Anonleaks a écrit fin juillet 2020 : « Les jours de l’OCG sont comptés. Les jours de sites web comme Kla.TV et AZK sont comptés. Nous ne partirons plus. Nous serons impitoyables et brutaux. […] Les jours tranquilles de l’OCG sont comptés, nous allons diviser votre « royaume ». L’hiver virtuel vient d’arriver chez Sasek, Kla.TV & l’OCG, habillez-vous chaudement. »

Nous avons eu plus tendance à transpirer qu’à avoir froid, car ils ont donné suite à leurs menaces par des actes. Les cybercriminels nous ont supprimé des serveurs internet entiers, détruit des bases de données et des sites internet, volé des données, envoyé en notre nom des masses de courriers électroniques indésirables, pillé les canaux de médias sociaux, bombardé nos serveurs avec des paquets de données (attaques DDos), exigé des entreprises qu’elles annulent nos contrats internet, incité la population à s’opposer à nous ; ils nous ont démoralisés avec des mes­sages vidéo et des courriers électroniques, ils ont commandé en notre nom des centaines de serveurs, etc. Si une effraction réussissait dans nos systèmes bien sécurisés, ils diffusaient leurs virus, chevaux de Troie et logiciels malveillants, comme un cancer en développement sur nos serveurs, de sorte que la seule solution possible était d’arrêter com­plètement les systèmes et de les réinstaller. En résumé, ils fournissaient à nos équipes du travail nuit et jour avec l’objectif ferme d’arrêter tous nos services. La liste de leurs crimes n’est absolument pas complète, il y aurait encore beaucoup de choses à mentionner…

Ces cyber-attaques hautement criminelles ont eu lieu, comme d’ha­bitude, conjointement avec la presse mensongère. Rien que ces derniers mois, nous avons enregistré plus de 100 attaques calomnieuses dans les médias. Si les hackers-terroristes payés réussissent un acte destructeur, les médias tels que Watson, der Standard, St. Galler Tagblatt, T-Online, etc. déclenchent immédiatement un feu médiatique dans toute l’Europe. Ensuite ils rendent publiques nos données privées, comme d’habitude dans un contexte complètement falsifié. Et ce, malgré les nouvelles dispositions en matière de protection des données (RGPD), qui ne s’ap­pliquent soudainement plus à nous…

     Mais par la grâce de Dieu et une conduite surnaturelle, nous sommes toujours là ! Malgré des mois d’attaques de hackers, notre travail de rela­tion publique a pu se poursuivre sans interruption notable et a continué à se développer massivement. Les systèmes sont devenus plus sûrs, la connexion de cœur avec les personnes qui suivent notre travail s’est dé­veloppée et nous avons vécu miracle après miracle pendant cette période.

Par exemple, un serveur de sauvegarde de données de 120 téraoctets d’espace de stockage a rendu l’âme car trop vieux. Cela s’est produit exactement au moment même où les cybers-terroristes détruisaient plu­sieurs bases de données de nos sites web de l’OCG. Il semblait que plusieurs mois de travail étaient perdus à jamais. Mais par la grâce de Dieu, nous avons pu restaurer un bloc de mémoire identique où se trouvait une sauvegarde actuelle ! Un autre signe du ciel : En 2019, aucun d’entre nous ne savait qu’en 2020, la pression sur notre dépar­tement informatique allait augmenter. Il y a d’abord eu le verrouillage du coronavirus et, avec lui, l’expansion nécessaire rapide de tous les services informatiques internes et externes. En outre, de nouveaux systèmes de conférence indépendants ont dû être développés afin que nous puissions continuer à produire nos grands événements sans aucune perturbation. Il a fallu trouver une solution pour connecter des milliers de spectateurs au studio où avait lieu l’événement via le Livestream et la station de Webcams. Il a fallu trouver des solutions pour permettre à tous les traducteurs de traduire depuis leur domicile. Ainsi les grandes conférences ont pu être diffusées simultanément en douze langues, dans plus de 50 pays, du Mexique jusqu’à Magadan (Russie) et en Australie. Il a fallu construire des réseaux à sécurité intégrée, surmonter les déca­lages horaires, résoudre les problèmes de retour d’information, etc. En outre, je me suis marié au début de cette année et nous attendons un enfant pour la fin du mois de novembre. J Avant de savoir ce que l’année 2020 allait nous apporter, mon ami de longue date, Kaleb, a reçu la divine impulsion de démissionner de son poste au sein du conseil d’administration d’une société de logiciels renommée. Il nous a proposé de commencer une année de bénévolat au Centre Panorama. Au fait, Kaleb et moi avons non seulement terminé notre formation d’infor­maticien en même temps, mais nous sommes nés avec moins de 24 heures d’écart. En cette année passionnante, nous avons donc doublé la capacité de gestion de nos départements techniques. Il y aurait encore beaucoup à ajouter. Nous louons le Seigneur pour Sa grandeur, Sa vision et Sa grâce !

En résumé, nous voyons que « Le Seigneur des transformations »[1] qui est à l’œuvre dans ces temps difficiles est le même que Celui qui a inspiré mon père à fonder ce ministère il y a 36 ans ! Nous reconnais­sons les bénédictions divines, Sa conduite et Sa fidélité dans chaque détail jusqu’à ce jour !

Les médias et les associations de hackers continuent d’essayer par tous les moyens de nous diffamer comme une dangereuse secte. Une secte qui bat les enfants, les maltraite, qui force les gens à diffuser de fausses informations et qui exploite les gens. D’où tiennent-ils cela ? Il n’y a pas d’autre explication que le fait que ces cercles de hackers sont orchestrés par des puissances de l’ombre et qu’ils investissent des dizaines de millions d’euros pour empêcher l’émergence d’un monde nouveau. Mais si cette œuvre vient de Dieu, les mains humaines ne peuvent pas l’arrêter ! Voir Actes 5:38-39 – conseil de Gamaliel : « Éloignez-vous de ces gens et laissez-les courir ! Car si ce conseil ou cette œuvre vient des hommes, il périra ; mais s’il est de Dieu, vous ne pourrez pas les détruire, de peur que vous ne soyez trouvés comme ceux qui luttent contre Dieu. »

Cordiales salutations,

[1] « Le Seigneur des transformations », à commander à l’adresse figurant au dos de la circulaire

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