Papa nous a dit un jour que nous avions aussi beaucoup d’« ennemis » qui gisaient par terre. Et nous passons toujours à côté. Par exemple, quand il y a des chaussettes par terre ou des élastiques à cheveux ou le cartable et tout un tas d’autres choses.
Pendant mon temps de silence, j’ai lu quelque chose et je l’ai noté : le serviteur d’Elisée a eu peur quand il a vu les soldats qui entouraient la ville. Elisée a alors prié et a dit : « Seigneur, ouvre les yeux de ce serviteur ! » En effet, bien qu’il y voie, il n’avait pas encore vu l’armée dans le ciel.
C’était un jour avant nos vacances. Kosima ne se sentait pas bien et elle a failli tomber malade, comme beaucoup d’autres à l’école.
Dans cette nouvelle édition, de nombreux autres enfants et adolescents te racontent des expériences réelles de leur quotidien personnel et ce qui les touche. Un grand MERCI à tous ceux qui partagent leurs expériences avec nous.
Il est souvent plus facile d’avoir un cœur pour ses amis à l’école ou pour ses proches que pour sa propre sœur. Dans les jours qui ont suivi les enfants ont continué à dire où ils avaient réussi à « donner leur vie pour leurs amis les plus proches »
Un jour, papa a dit que nous allions nous promener dans la forêt. J’étais très contente et je me suis habillée en vitesse. Puis nous y sommes allés. Je voulais aller dans la « forêt des crocodiles » (il y a un très grand crocodile en bois), mais papa voulait en fait aller dans la forêt d’à côté, où nous n’étions encore jamais allés.
Bonjour, je m’appelle Dana et j’aimerais te parler de la super conférence de fin d’année. Là j’ai compris quelque chose que mon grand-papa Ivo a dit. Il nous a dit que nous, les humains, faisions toujours des exceptions et que nous disions toujours pourquoi juste maintenant quelque chose ne marchait pas. MAIS si Jésus est dans notre cœur, il n’y a PLUS D’EXCEP¬TIONS. Il nous bénit TOUJOURS et nous aide TOUJOURS.
Je voudrais te dire que tu peux toi aussi apprendre à régler les troubles sans maman. C’est bien plus agréable d’essayer d’abord soi-même. Si on se parle d’un ton aimable, la paix revient vite.
Pendant les vacances, nous avons beaucoup appris sur l’« égo indivi-dualisme ». Quand je suis en mode égoïste et que je ne me préoccupe que de moi, ça dérange vraiment tout le monde autour de moi. Un jour, papa et maman nous ont dit que chacun pouvait dessiner les situations dans lesquelles nous sommes « égo ».
Chaque matin, j’amène Dana, 6 ans, jusqu’à la porte d’entrée ; nous nous disons au-revoir puis elle court jusqu’à l’école maternelle tout près de chez nous. Au début, ça se passait très bien. Mais un jour, elle n’a pas vou¬lu partir à moins d’être accompagnée de son amie.
