Lors de nos dernières vacances, nous avons passé des moments très bénis avec les enfants. Notre objectif était qu’ils aient une conscience globale de leur entourage, et je pense qu’il n’y a presque rien de mieux pour les enfants et les gens en général que d’apprendre cela...
Un jour Maman m’a dit de ranger ma chambre. C’était juste un peu le chaos ! Du coup j’ai pleuré et j’ai dit : « J’ai besoin d’une amie pour m’aider. » 😪 Maman a dit que je pouvais le faire tout seul, sans mes sœurs qui sont à l’école, et que je suis déjà grand.
Puis j’ai expérimenté que je pouvais changer l’image comme Frido (voir l’article précédent). Soit je choisis l’image où tout est laborieux, lent et sans plaisir, soit je choisis l’image où je surmonte vite ce problème et le termine en un rien de temps.
Pendant mon temps de silence, j’ai lu quelque chose et je l’ai noté : le serviteur d’Elisée a eu peur quand il a vu les soldats qui entouraient la ville. Elisée a alors prié et a dit : « Seigneur, ouvre les yeux de ce serviteur ! » En effet, bien qu’il y voie, il n’avait pas encore vu l’armée dans le ciel.
Toute la Bible est remplie de miracles de transformation ! Il nous a en outre expliqué que c’est à nous de prendre par la foi la transfor¬mation offerte par Dieu.
Auf Kla.TV haben wir kürzlich eine Dokumentation nochmals ausgestrahlt, die mich nachhaltig sehr bewegte... Es geht da um ein Volk, welches schon seit Jahrzehnten eine andere Nation aus ihrem eigenen Land vertreibt. Auf brutalste Weise dringen sie einfach Stück für Stück in ihr Land ein, belagern die Dörfer und Städte und peinigen die Bewohner so lange, bis sie alle geflohen sind ...
Il est souvent plus facile d’avoir un cœur pour ses amis à l’école ou pour ses proches que pour sa propre sœur. Dans les jours qui ont suivi les enfants ont continué à dire où ils avaient réussi à « donner leur vie pour leurs amis les plus proches »
Mais le vent est devenu de plus en plus fort, et la joie des enfants s’est transformée en légère panique, car il devenait de plus en plus impos-sible de rester assis sur le vélo. Le vent se déchaînait. À gauche, devant nous, se trouvait le grand lac et à droite, la « grande étendue » non cultivée.
Un jour, papa a dit que nous allions nous promener dans la forêt. J’étais très contente et je me suis habillée en vitesse. Puis nous y sommes allés. Je voulais aller dans la « forêt des crocodiles » (il y a un très grand crocodile en bois), mais papa voulait en fait aller dans la forêt d’à côté, où nous n’étions encore jamais allés.
C’est pourquoi je suis si reconnaissante pour le ministère de l’OCG et pour tous les liens de cause à effet qui nous sont toujours montrés jusqu’à la plus petite base. Ils fonctionnent simplement jusque dans chaque situa¬tion, aussi différente soit-elle, et chaque jour, je suis, et nous sommes, richement bénis par cela !
