Sulamith : L’insoluble « confusion »
Un soir, soudain, nos quatre filles (2 à 6 ans) sont venues pleurer auprès de mon mari Andreas et moi. Apparemment elles s’étaient toutes « brouillées » les unes avec les autres. Chacune parlait de ce que l’autre avait fait de mal. D’après ce qu’on a compris dans cette confusion, chacune avait plus ou moins raison et chacune avait plus ou moins tort. À ce moment-là, je me disais que nous allions vers un long démêlage. J’étais un peu perplexe pendant un moment, jusqu’à ce que mon mari rassemble toutes les filles agitées autour de lui et leur confie un secret :