Chaque personne sent en elle le besoin de transformation. Que ce soit des manquements personnels ou des manquements dans la vie commune, etc., tout invite à la transformation. Mais la plupart d’entre nous échouent dans la pratique parce que souvent nous essayons de le faire par un moyen religieux. C’est-à-dire que nous essayons d’obtenir un changement au travers d’efforts et en « se donnant de la peine ».
Mai 2020. Du plus profond de moi-même ça a débordé et lors de notre réunion d’équipe, j’ai lancé à la ronde : « Mais ce monde a besoin du ministère prophétique de papa MAINTENANT dans cette crise, MAINTENANT PLUS QUE JAMAIS !! » Il était justement question de reporter notre Journée des Amis annuelle jusqu’à ce que les grands rassemblements soient à nouveau autorisés. Mais j’ai vécu de façon si impressionnante comment dans cette crise du coronavirus les gens ont absorbé comme des éponges sèches les exposés de papa montrant les chemins et les impulsions !
À partir d’une prédication de mon père intitulée « Franchise au jour du jugement », j’ai réalisé que la confrontation est mon programme. C’est alors que, à peu près à la moitié de mon service militaire, l’Esprit m’a poussé à poser ma candidature pour faire un discours à la compagnie de recrues. Après des semaines de lutte et d’efforts, j’ai eu l’occasion de faire un discours de 30 minutes devant toute la compagnie (environ 80 recrues et sous-officiers) lors d’une soirée de compagnie, la semaine 13.
Récemment, j’étais en voiture avec ma femme et j’ai allumé une radio chrétienne. On y diffusait une interview. Une mère participait à la réduction des déchets sur les plages du Portugal. Elle et ses enfants ramassaient des bouteilles en plastique et toutes sortes d’ordures. La présentatrice lui a alors demandé sérieusement : « Nous sommes chrétiens. Entre nous, pourquoi vous engagez-vous en faveur du développement durable ?
Cette année encore, un de nos plus grands événements de l’année, la Journée des Amis, a pu avoir lieu malgré le coronavirus. En quelques semaines seulement, le Seigneur a donné les nouveaux moyens nécessaires pour faire de cet énorme rencontre un événement en direct.
omme Ramon et moi sommes sur la route depuis plusieurs heures, je me trouve maintenant devant un snack-bar. Je demande à la vendeuse, sachant que c’est en fait illogique : « Avez-vous un poivron ? » Elle me regarde, presque un peu déconcertée et énervée : - « Non ». Je fais encore un essai : « Pardon, et peut-être une tomate ? » - « Non, on n’en vend pas. » Sur ce, je lui dis avec un regard malicieux et innocent : « Hihi... vous savez, je suis enceinte et j’ai une telle envie de légumes frais ! » Alors, la vendeuse inquiète et pleine de compréhension : « Oh, Waouh ! Qu’est-ce qu’on fait alors ? »
Ces derniers temps, j’ai souffert de certaines choses qui ne marchaient plus dans ma vie. Au lieu d’aller voir mes prochains au travail ou ma famille, j’ai essayé d’une manière ou d’une autre de m’en occuper moi-même, et avec cela l’édifice de mes pensées est devenu de plus en plus grand ! La qualité de vie disparaissait de plus en plus et le lien du cœur avec mes semblables devenait de plus en plus petit. Ma formatrice l’a ressenti, elle s’est alors assise avec moi et m’a aidée avec amour !
C’est avec reconnaissance que nous pouvons regarder en arrière sur un temps riche, où les mesures prises face à la Covid-19, qui détruisent la communauté et l’économie et nous rendent malades de façon démontrable, n’ont en aucune manière pu nous rejeter en arrière. Merci au SEIGNEUR !!
C’était en janvier, la fin de ma grossesse et la naissance approchaient. Sans sommeil et inquiète, j’étais assise sur le canapé pendant la nuit et de nombreuses déclarations de médecins me traversaient la tête. Avec la complication que j’avais eue lors de la dernière suite de couches, tous les pronostics étaient assez mauvais pour la nouvelle grossesse, mais surtout maintenant pour la fin imminente et la naissance.
Chaque jeudi nos petits-enfants viennent chez nous et je peux passer un peu de temps avec eux, pendant que Noemi et Sulamith assistent à des réunions.
