« J’espère que tout le monde est content de moi ! Est-ce que je fais bien les choses ? Ouïe ! Qu’est-ce qu’ils peuvent bien penser de moi ? » De telles pensées limitent ma joie de vivre. Je l’ai constaté pendant les vacances, lorsque j’ai eu le temps de réfléchir aux mois passés !
Après décennies de dénigrements à l'encontre de leurs parents, il était temps pour les enfants Sasek de leur dédier une chanson. Une chanson qui montre de l'estime et qui permet de jeter un coup d'œil en coulisses. Avec la préface de l'auteur-compositeur Ruth-Elpida Sasek : « Depuis l'enfance, nous sommes témoins de l'injustice, mais nous voyons comment les fondations de la vie de nos parents tiennent. C'est sur ces mêmes fondations que nous voulons construire ». En outre, l'un des fils Sasek a des projets de mariage... Mais voyez vous-même !
Ruth ne peut plus s'exprimer seulement avec des mots, elle essaie de les mettre dans une mélodie. Un morceau de piano mélodieux intitulé « Seulement en Toi » parle de son expérience de vie, à savoir que l'on ne peut vraiment faire confiance à personne d'autre qu'à Dieu. Il est le meilleur ami et le vrai foyer !
Le journal des jeunes est toujours une belle occasion de garder et de partager les petits et grands miracles du quotidien. Certaines expériences, nous les trouvons petites, d’autres grandes. Mais ce sont tous des miracles et des contacts avec Dieu.
« Nous avons assez souvent ce sentiment. Nous pensons : « J’ai tout fait de travers, ça ne peut plus bien se passer. » Mais le Seigneur dit : « Pour¬quoi pas ? Puisque c’est MOI qui a les règles du jeu ...
Je prends de Ta main ce que Tu me donnes et je prends de Ta main ce que Tu me prends. Je vis de Ta main, je n’ai rien d’autre. Lorsque Tu m’offres Ton souffle, je vis, sinon je ne vis pas.
Chers enfants, chers jeunes ! Sais-tu que tu es quelqu’un de très particulier ? Tu as quelque chose qui me manque, et j’ai quelque chose qui peut t’aider. J’ai besoin de toi et tu as besoin de moi.
Je suis reconnaissante pour tout et je ne veux qu’une chose : être À CHAQUE INSTANT là où Dieu me place.
Eines Abends nach einem ausgiebigen Tag legte ich mich schlafen. In mir drin ging alles drunter und drüber. Mich beschäftigte vieles und ich konnte nicht einschlafen. Da stieg mir ein Satz nach dem anderen hoch. Es war fast wie ein fertiger Liedtext, eine fertige Zusammenfassung von allem, was mich bewegte.
Au lieu d’avoir peur de me perdre sans fin dans la ville (ce qui m’est arrivé une fois et je me suis sentie si stu¬pide, surtout quand on doit revenir une autre fois pour un rendez-vous...), je me suis attendue IMMÉDIATEMENT à sentir quelle bifurcation je devais prendre... Je suis donc passée devant les différents panneaux de la ville, au milieu d’une circulation dense, en me demandant une seule chose : Quel panneau « brille * » le plus ?
