Julia : La très grande différence
Qu’est-ce qui m’arrivait ? J’étais assise dans le fauteuil du salon, dé¬sespérée, et je suppliais le Seigneur de m’ouvrir les yeux. Car depuis un certain temps, j’étais comme sous une épaisse couche de brouillard qui ne se laissait pas percer. Pourquoi ma relation avec le Seigneur était-elle si obscure ? Pourquoi tout me semblait-il si difficile et pourquoi chaque geste me demandait-il tant d’effort ?