C’est toujours trop peu
Témoignage pour la circulaire de Stefanie, 28 ans

Est-ce que tu ressens aussi que tu reçois toujours trop peu, pour changer ta vie quotidienne ou que tu te révoltes parfois contre des circonstances pénibles ? Peut-être même que tu fais des reproches à Dieu pour un manque ?! Si cela arrive, je voudrais te parler d’une clé qu’Ivo nous a récemment don­née dans un message et qu’Elias et moi avons pu mettre en œuvre durant les dernières semaines de nos fiançailles. Ivo a enseigné sur les principes de lois selon lesquels tout ce que Dieu nous donne est toujours ressenti comme étant trop peu. Mais ce que nous oublions, c’est que ce que Dieu donne n’est que la semence ! Et quiconque prend avec reconnaissance la graine et la sème dans la terre au lieu de la manger, la multiplie jusqu’à l’abondance !

Ça sonne bien, n’est-ce pas ? En pratique, ça a été un peu plus dou­loureux : Au cours d’une leçon d’auto-école pour apprendre à conduire un scooter, les moniteurs m’ont demandé un freinage avant complet, et la roue avant de mon scooter s’est bloquée, ce qui m’a fait perdre le contrôle de l’engin et tomber sur l’asphalte sur le genou. Diagnostic : « Fractures de la rotule et de la cheville gauches. » À première vue, c’était probable­ment le moment le plus bête pour un tel accident et pas exactement ce que je voulais quelques semaines avant mon mariage avec Elias et pour le début de notre vie de couple.

Elias et moi avons clairement senti que cette parole du message pouvait alors être mise en pratique, à savoir semer le MERCI dans ce « manque » ressenti et nous attendre à vivre de nouvelles dimensions dans toute la préparation du mariage. Elias et moi avons donc fait l’expérience de la façon dont nous avons soudainement géré la charge de travail quotidienne, qui était de toute façon un peu différente, sans stress, car je ne pouvais tout faire que couchée et en position de repos. En outre, nous nous réjouis­sions encore PLUS de ce nouveau départ commun. La paix intérieure, le temps pour la relation avec le SEIGNEUR, et l’échange commun ont augmenté. Les temps que nous avons partagés, le lien du cœur, le travail dans notre maison, sont devenus très détendus et célestes. J’étais allongée sur la chaise longue à regarder Elias, par exemple, peindre les murs ou assembler les meubles avec des vis, etc. Toute la pression et le stress avaient complètement disparu et nous avons reçu de l’aide et du soutien supplémentaires de tous les côtés ! Nous remercions le SEIGNEUR et nous nous attendons à ce que la jambe cassée soit complètement guérie pour le mariage le 26 décembre.

Imagine, si le fermier regardait les petites graines dans sa main avec incrédulité et ne croyait pas au POTENTIEL de ces petites graines ? Que se passerait-il ? Il mangerait tout, ne sèmerait rien et par conséquent il souffri­rait de la faim (d’un manque) l’année suivante !

J’ai été très encouragée à accepter les circonstances avec gratitude et à donner de ce que j’ai toujours senti que j’avais trop peu. Je crois en cela : Nous ferons l’expérience que « de notre grain de moutarde sortira un grand arbuste, dans lequel les oiseaux pourront nicher ». En d’autres termes, le manque ressenti, si on le sème, il devient de plus en plus abondant, et ce, même pour le monde entier.

Dans une attente joyeuse et avec gratitude !

 Stefanie

Plus de témoignages :