Les dernières combines de la presse de propagande
Témoignage pour la circulaire d’Elias, 27 ans

Ce que le « Augsburger Allgemeine », l’un des plus grands journaux bavarois, s’est permis récemment, ne peut être qualifié que de propagande de mensonge primitive. Julian Würzer, le journaliste mandaté, a en effet réussi à faire de l’OCG, qui est l’un des mouvements les plus pacifiques d’Europe, voire du monde, une secte terroriste dans l’esprit des lecteurs. Cela avec des combines journalistiques du plus bas niveau et surtout par de noirs mensonges.

Quelques extraits du journal et des articles en ligne : « Walter Lübcke, Jana L. et Kevin S. sont encore en vie… Nous sommes le 11 mai 2019. […] Cette histoire raconte comment la secte fonctionne, juste devant notre porte. […] Tous les premiers samedis du mois, il y a un service religieux dans la maison d’un des membres. Mais tout cela n’est-il pas que du camouflage ? […] Sasek a rassemblé derrière lui environ 3 000 partisans. Tout le monde est tenu de donner dix pour cent de son salaire. […] L’OCG détermine toutes les questions importantes de la vie, de la profession à exercer à la voiture à acheter. En cas d’infraction on reçoit des coups. […] Le 2 juin, Walter Lübcke, président du Land de Hesse, est abattu devant sa maison. […] (Un négationniste de l’Holocauste) veut faire un massacre dans une synagogue. Sa tentative échoue. Furieux, il assassine Jana L. une passante et Kevin S., qui était assis dans un kebab. »

Cela ne vaut pas la peine de démentir les mensonges en détail. Disons-le en trois mots : Tout est mensonge. Mais as-tu déjà compris avec quelle combine de propagande primitive les médias opèrent depuis peu contre nous ? On entremêle simplement les meurtres obscurs les plus brutaux de politiciens et de passants sans défense avec des commentaires sur Ivo Sasek, l’OCG et bien sûr sur Kla.TV, l’AZK, Jugend.tv, etc. On fait d’abord croire aux lecteurs que la tâche principale de l’OCG est de distribuer des coups. Que racontera ensuite au bistrot du coin le citoyen qui écoute les médias ? « Ivo Sasek et l’OCG sont dangereux ! Leurs services religieux ne sont qu’un camouflage. Il faut faire attention… c’est quand même terrible, ce qui est arrivé à Walter Lübcke, Jana L. et Kevin S… »

L’injustice est criante et les conséquences de telles campagnes de diffa­mation se font de nouveau sentir de tout près. Par exemple, si j’invite des amis de longue date, du temps de mon apprentissage, à notre mariage, j’obtiens des réponses comme (je cite) : « J’aimerais bien venir à ton mariage, mais pour être honnête, ce qui m’effraie, c’est l’OCG « qui est derrière ». Oui, je ne sais pas grand-chose de tout ça, mais ce que je sais est suffisant pour que je sois prudent. »

Le rédacteur en chef de la presse bavaroise doit probablement main­tenant taper sur l’épaule de Julian Würzer et lui dire en souriant : « Belle histoire, mon jeune stagiaire – c’est une affaire qui roule. » Parce que maintenant, comme souhaité, les gens sont dissuadés de s’approcher de l’OCG, ils craignent pour leur vie. Le fait que même des amis proches évitent désormais un mariage Sasek devrait rendre le rédacteur en chef de l’Allgemeine Augsburger particulièrement heureux. Mais à ce stade, je rappelle aux stagiaires mis en avant comme Julian et à tous les rédacteurs intelligents, qui répandent de telles histoires mensongères et les publient sans cesse, quelques lois de la nature, connues de tous les peuples :

« Celui qui creuse une fosse y tombe, Et la pierre revient sur celui qui la roule. » (Proverbes 26:27). « Celui qui sème le mal moissonnera le mal par le principe de loi. Celui qui sème le mensonge tombera par ses propres mensonges » etc. Chacun de nous récoltera ce qu’il a semé. Nous aussi, nous semons depuis des décennies, en aidant les nécessiteux jusqu’au bout. Jusqu’à ce jour, nous nous investissons sans partage pour l’amour, la paix, la bénédiction et la vie divine. Je me réjouis pour l’avenir, il est plein de promesses, plein de paix et clair comme le jour. Tandis que nous continuons notre chemin joyeusement et sans ambition de vengeance, nous pouvons déjà voir aujourd’hui que de plus en plus de gens affluent vers nous, inexorablement comme un lever de soleil. À la 17^e AZK [1], il y avait à nouveau environ 3 000 invités sur place, la salle géante les contenait tout juste. Heureusement, nous avons encore pu diffuser un film en direct dans plus de 15 pays. Et malgré toutes les méchantes calomnies contre nous, beaucoup d’inscriptions pour notre double mariage, de nos amis d’ici et d’ailleurs, nous parviennent.

D’ailleurs, c’est à la fin du mois de décembre qu’aura lieu ce grand moment… et actuellement nous nous posons la question : Où trouver assez de chaises ?

^[1] Conférence en ligne en allemand : www.kla.tv/AZK17-fr

Elias

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