Chaque jour, les informations sur les attaques de pirates informatiques, les cyber-extorsions et autres se multiplient dans les actualités. Aucune cible n’est épargnée : entreprises, aéroports, gouvernements, hôpitaux, oléoducs, écoles… Tous sont touchés de la même manière par les cyber-attaques actuelles. En 2023, les attaques par ransomware (logiciels de rançon) ont atteint un pic. Lors d’une telle attaque, les ordinateurs des victimes sont verrouillés et ne sont déverrouillés que contre le paiement d’une rançon. Lors d’un tel chantage, des sommes de plusieurs centaines de milliers, voire des sommes de millions, sont exigées, selon la taille de l’entreprise. Les propriétaires des systèmes informatiques peuvent alors évaluer ce qui est le moins cher : soit payer des spécialistes informatiques qui mettront beaucoup de temps à réparer les dégâts, soit payer la rançon demandée, soit faire faillite tout de suite. Dans de nombreux cas, le plus simple est de transférer la somme d’argent en crypto-monnaie, et c’est ainsi que le crime organisé se développe de plus en plus sous nos yeux. Cet état d’urgence généralisé fait que la demande publique se fait chaque jour plus pressante : Il faut y remédier ! Ça ne peut pas continuer ainsi ! Après tout, nous vivons dans une société numérisée et si des infrastructures critiques comme les hôpitaux sont paralysées par des pirates anonymes, cela peut représenter un danger mortel.

Tout observateur critique des événements se pose toutefois la question suivante : ces attaques de pirates informatiques à grande échelle sont-elles réellement le fait de criminels isolés ? Sont-ils insaisissables malgré tous les efforts des services secrets et la surveillance omniprésente d’Internet ? Ou bien les agresseurs sont-ils des groupes d’élite qui attisent délibérément l’indignation de la population afin de la rendre réceptive à un Internet d’un nouveau genre ? Si tel est le cas, quels sont les objectifs de ces acteurs et quel type d’Internet nouveau souhaitent-ils créer ?

Dans les milieux spécialisés, on parle déjà beaucoup de l’Internet de la prochaine génération. Ce qu’on appelle le Web 3.0. Tout le monde semble d’accord pour dire que le nouvel Internet doit être basé sur la technologie dite « blockchain ». Aujourd’hui, on nous promet monts et merveilles : davantage de protection des données, davantage de décentralisation et d’indépendance vis-à-vis des grandes « pieuvres des données » comme Google, Microsoft, Facebook et autres. Mais si on se penche sur le fonc­tionnement de la « technologie blockchain », on constate sans aucun doute que cette technique peut être utilisée soit pour libérer l’humanité, soit pour l’asservir totalement. Ce qui compte, c’est de savoir qui la contrôle ! L’Internet actuel a également un énorme potentiel pour l’humanité. Le problème, c’est qu’il est contrôlé et censuré par des acteurs qui n’ont pas en tête le bien de l’humanité, mais son contrôle total et son asservissement ! Le même principe peut être appliqué au Web 3.0. Aussi grand que puisse être le potentiel de la blockchain (et c’est pourquoi il passionne actuel­lement de nombreux technophiles), entre les mains du FEM, de l’UE, de l’ONU, de la fondation Gates et d’autres acteurs centraux, le Web 3.0 va devenir un cauchemar ! En effet, ces institutions s’engagent avec véhé­mence en faveur d’une identité numérique pour tous les citoyens de la Terre. Une identité numérique contient tout ce que tu as fait, acheté et entrepris. Une telle surveillance totale, le citoyen transparent, le contrôle total de l’humanité dans les moindres détails, tout cela serait réalisable avec la technologie blockchain. Où en sont ces projets ? Le fait qu’en 2022, trois pionniers de la blockchain, Nikolai Mushegian, Tiantian Kullander et Vyacheslav Taran, sont déjà morts « accidentellement » – et ce en l’espace de quatre semaines seulement – n’augure rien de bon. L’un des dévelop­peurs de la blockchain a écrit quelques heures avant sa disparition sur un présumé complot de la CIA, du Mossad et de pédophiles haut placés qui le traquait. « Ils vont me torturer à mort », a-t-il écrit sur Twitter. Que signifie tout cela ? Les développements blockchain de ces génies ont-ils été volés et sont-ils maintenant prêts pour des plans mondiaux ? On ne peut que spéculer à ce sujet.

Je ne peux que le résumer ainsi : Qu’il s’agisse du Web 3.0, de la blockchain ou de quoi que ce soit d’autre… si nous ne sommes pas la lumière et le sel sur cette terre, si nous ne mettons pas inlassablement en lumière les machinations de cette élite secrète au pouvoir et si nous ne devenons pas très concrètement le retour du Christ, alors cette dictature numérique s’emparera de tous les domaines de notre vie comme une pieuvre ! On va créer artificiellement une crise après l’autre pour nous rendre réceptifs à la nouvelle technique de contrôle. Les krachs financiers doivent servir à introduire une monnaie centrale numérique, les cyber-attaques à créer un Internet transparent, les pandémies à décimer l’humanité par des vaccins à ARNm génétiquement modifiés, etc. Comment ne pas tomber dans la résignation face à ces évolutions ? Il n’y a qu’une chose à faire, proclamer avec foi :

« La lumière sera, la lumière vient,

dit le Seigneur qui parle à travers nous,

vous les escrocs, vous êtes dévoilés maintenant,

la lumière met fin à votre course. »

     Et toute proclamation avec foi est suivie d’actions. De cette manière, j’ai le privilège de collaborer chaque jour avec des centaines de personnes qui se sont donné pour mission de vie d’être la lumière et le sel de cette terre, par exemple par des recherches d’investigation pour Kla.TV ou sous la forme de témoignages encourageants pour OCG.life, etc. Cela donne du courage ! Rejoins-nous et soutiens-nous avec ton talent. Nous avons besoin de toi !

Elias