Famille-Sasek – News
juin 2025
Jan-Henoch : Participer aux souffrances
C’est samedi, une belle journée de printemps ensoleillée. Saisi par « l’ap¬pel à l’aide » selon lequel le référendum suisse contre la loi fédérale sur la preuve d’identité électronique et d’autres preuves électroniques (loi e-ID, BGEID) risquait d’échouer, je suis dans les rues de Saint-Gall pour récolter des signatures. J’ai décidé de participer au sprint final de ce réfé¬rendum (il manquait encore 4 000 signatures sur 50 000), car ce sont les dernières signatures qui décideront si nous, le peuple suisse, pourrons voter sur ce sujet !
Stefan & Noemi : Le paradis sur terre et le paradis au quotidien ?!
Connais-tu aussi dans ta vie quotidienne les situations et les mécanismes suivants que nous avons vécus récemment ? C’était le quotidien des jours d’école. Chaque jour, les enfants rentraient joyeux à la maison et débordaient d’histoires sur tout ce qu’ils avaient vécu. A table, William (dix mois) était déjà assis dans sa chaise haute. Il attendait le repas avec impatience et le faisait savoir depuis un certain temps par des cris et des plaintes, tandis que nous rendions grâces pour le repas – « ... Il avait très faim et était déjà fatigué ».
Andreas : Ismaël, Isaac et le 7ème jour de la création
Lors de la conférence de fin d’année 2024, nous avons été infiniment bénis par les magnifiques exposés de mon beau-père Ivo. Le grand chan¬gement de paradigme dans l’exposé « Le septième jour de la création » était tout à fait central. Il nous a été révélé que Dieu ne S’est pas reposé le sep¬tième jour de la création, mais qu’Il a créé le repos lui-même, qui émane depuis lors de tout ce qui a été créé auparavant.
Anna-Sophia : Quelle est ma première priorité ?
Cette prédication sur le 7e jour de la création nous a donné la conviction que ce repos nous est toujours promis, quels que soient les fardeaux que nous portons actuellement. Pourquoi ? Parce que toute la création doit nous servir si nous sommes dans SES priorités !
Ruth-Elpida & Jeremias : Les héros de vrais polars
Que ce soit à minuit, à 3 heures du matin ou à 6 heures, les écrans de presque tous les passagers sont restés allumés toute la nuit avec des films policiers très violents. Même une dame âgée et sa fille, assises devant nous, ont regardé des films aberrants, à tel point que nous avons dû accrocher nos casquettes entre les sièges pour ne pas assister involontairement à des scènes que nous ne voulions pas voir.
Julia : La très grande différence
Qu’est-ce qui m’arrivait ? J’étais assise dans le fauteuil du salon, dé¬sespérée, et je suppliais le Seigneur de m’ouvrir les yeux. Car depuis un certain temps, j’étais comme sous une épaisse couche de brouillard qui ne se laissait pas percer. Pourquoi ma relation avec le Seigneur était-elle si obscure ? Pourquoi tout me semblait-il si difficile et pourquoi chaque geste me demandait-il tant d’effort ?