Circulaire – Avril 2020

Proverbe 31, traduction façon Loïs
Témoignage pour la circulaire de Lois, 31 ans

Lors de la conférence de fin d’année, papa a prêché un merveilleux message de mariage, dans lequel, par exemple, il a parlé avec cœur de comment il peut voir maman avec les yeux de DIEU. Il nous a donné à tous la vision de prier pour qu’il nous soit permis de voir nos prochains – oui, toutes les personnes – avec les yeux de Dieu. Il n’est pas rare que les « faiblesses » considérées humainement comme telles, se transforment par un effet absolument enchanteur quand Son Esprit regarde à travers nous… Je voulais monter d’un cran en ce qui concerne ma maman. Petite déjà, j’avais parfois l’habitude, pendant ma lecture de la Bible, d’écrire au crayon certains mots (noms/lieux, etc.) de mon environnement par-dessus ceux cités, afin de donner un sens très concret à l’histoire de ma vie. Cela m’aide parfois beaucoup pour pouvoir voir les événements avec Ses yeux. Par exemple, quand j’étais une petite fille, j’avais déjà commencé à réécrire l’histoire de Proverbes 31:10-31 et ce n’est que récemment que je l’ai terminée et que je l’ai donnée à maman dans un cadre, délicatement écrit à la main… Il est maintenant également imprimé ci-dessous pour toutes les épouses et mères zélées et pleines d’Esprit qui construisent le nouveau monde tout devant au front, nouveau monde qui commence exactement à la maison, à la base, dans la famille !

Pour maman de la part de Loïs, Proverbe 31

« Une femme vertueuse – comme Anni –, qui la trouve ? Elle a bien plus de valeur que les perles. Le cœur de son mari a confiance en elle. Et les fruits ne lui font pas défaut J. Elle lui fait du bien et non du mal tous les jours de sa vie. Elle travaille le fil et l’aiguille et étiquette le linge de ses mains avec plaisir. Elle est comme un navire marchand, elle ramène son pain de loin (de Gailingen) – elle compare les prix de Lidl, Spar et Top CC. Et elle se lève quand il fait encore nuit et prépare une nourriture spirituelle pour sa maison pendant son culte personnel et prodigue ce qui est approprié à ses aides ménagères. Elle voit les défauts des autorités de l’État et récupère leur butin. Du fruit de ses mains, elle fait un jardin sur le balcon et plante des pousses dans la cuisine. Elle ceint de force ses reins et elle affermit ses bras. Elle sent que ce qu’elle récolte est bon ; même la nuit, sa lampe ne s’éteint pas. Elle met la main aux ciseaux et ses doigts coupent habilement les cheveux. Dans son service elle tend la main aux malheureux et aux indigents. Elle ne craint pas la neige pour sa maison, car tous ses meubles de jardin sont habillés de bâches. Elle fait elle-même des recettes ; et les plus beaux vêtements sont ses atouts. Son mari est considéré dans les médias, lorsqu’il tient des réunions avec les rédacteurs en chef de chaînes de télévision et de journaux. Elle raccommode de précieuses chemises, achète avec sagesse et se procure de la nourriture chez le marchand. Elle est revêtue de force et de souveraineté, et elle rit avec insouciance du lendemain. Elle ouvre la bouche avec sagesse et des instructions aimables sont sur sa langue. Elle veille sur ce qui se passe dans sa maison et elle ne mange pas le pain de la paresse. Ses fils se lèvent et la disent heureuse, son mari se lève et lui donne des louanges : plusieurs filles ont une conduite vertueuse, mais toi tu les surpasses toutes ! Une femme qui craint le Seigneur doit être louée. Honorez-la pour son travail et de l’estrade ses œuvres la glorifieront. »

(www.sasek.tv/doppelhochzeit, en allemand)

À toutes les mamans vertueuses : Continuez comme ça !

 Loïs

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