Pendant les vacances, nous faisions du « repos tout autour ». Cela signifie que nous avons regardé ensemble où quelque chose n’était pas si bon et si beau pour nous, c’est-à-dire ce qui n’était pas encore en paix. Nous avons noté ces choses.
Alors je disais aux frères et sœurs dans mon entourage que je me sen-tais poussée à le soutenir, où que ce soit. Au début, je l’ai juste accompagné en prenant beaucoup de notes. J’observais simplement tout ce qu’il faisait. A côté des aspects techniques, j’ai surtout appris la fidélité dans les petites choses et sa manière de s’attaquer aux problèmes...
Cet été, beaucoup de nouveaux enfants sont entrés chez nous en pre-mière année de maternelle. Ce sont les « Räuplis » (chenilles), et je suis maintenant devenu un « papillon » (ce sont les grands de deuxième année de maternelle)...
Auf Kla.TV haben wir kürzlich eine Dokumentation nochmals ausgestrahlt, die mich nachhaltig sehr bewegte... Es geht da um ein Volk, welches schon seit Jahrzehnten eine andere Nation aus ihrem eigenen Land vertreibt. Auf brutalste Weise dringen sie einfach Stück für Stück in ihr Land ein, belagern die Dörfer und Städte und peinigen die Bewohner so lange, bis sie alle geflohen sind ...
Un samedi, j’étais dans la grande cuisine avec ma tante Boasa et j’ai épluché des carottes avec elle. Les carottes étaient toutes sales à cause de la terre. Chaque fois que nous enlevions la peau, la belle carotte orange apparaissait en dessous.
C’est toujours très beau quand je commence par aider et « donner » quelque chose. Ça rend le jeu ensuite encore plus agréable et c’est très beau.
Je suis restée éveillée toute la nuit à cause des contractions. Comme c’est le cas lors d’un accouchement, les contractions et les pressions deviennent de plus en plus fortes jusqu’à ce que la force des contractions soit suffisamment importante pour permettre la naissance du bébé.
Un jour, mon grand-papi (Ivo) a raconté quelque chose de passionnant. Il était très loin en Inde. Tout à coup, il est tombé très malade et il était obligé de rester au lit. Tous ses amis étaient partis. Puis, un ami très cher a rendu visite à grand-papi lorsqu’il était couché et lui a demandé : « Comment vas-tu ? »
Les années passent, et parfois, quand je regarde les événements, j’ai l’impression en tenant compte des évènements d’avoir vécu plusieurs vies. Aujourd’hui, alors que j’ai à peine passé la moitié d’une vie normale, je pourrais déjà dire la même chose que le roi David, qui s’est exclamé à la fin de sa vie : « L’Eternel qui m’a délivré de toutes les dé¬tresses est vivant ! » (1 Rois 1 :29). Quelle confession sur son lit de mort !!
