Chaque matin, j’amène Dana, 6 ans, jusqu’à la porte d’entrée ; nous nous disons au-revoir puis elle court jusqu’à l’école maternelle tout près de chez nous. Au début, ça se passait très bien. Mais un jour, elle n’a pas vou¬lu partir à moins d’être accompagnée de son amie.
Au lieu d’avoir peur de me perdre sans fin dans la ville (ce qui m’est arrivé une fois et je me suis sentie si stu¬pide, surtout quand on doit revenir une autre fois pour un rendez-vous...), je me suis attendue IMMÉDIATEMENT à sentir quelle bifurcation je devais prendre... Je suis donc passée devant les différents panneaux de la ville, au milieu d’une circulation dense, en me demandant une seule chose : Quel panneau « brille * » le plus ?
Récemment, alors que je disais au revoir à Kosima avant de dormir, elle s’est enroulée autour de mon cou et m’a dit avec des yeux pétillants : « Quand tu m’as dit qu’on devait se brosser les dents, je suis partie et j’ai trouvé un petit miroir blanc. Et j’ai voulu jouer avec le petit miroir blanc...
J’ai récemment acheté des verres grossissants qui me permettent de re-garder et d’étudier de très près les petits animaux. Ça me fascine incroya-blement et c’est tellement intéressant ! Et j’ai commencé à faire exactement la même chose avec les effets dans ma vie quotidienne !
Hallo, ich bin die Samantha und ich möchte Dir etwas über die Angst erzählen: Immer wenn ich zur Toilette ging, hatte ich danach Angst, zu spülen. Es war immer so laut. Ich sprang dann schnell aus dem Bad raus, wenn ich fertig war und habe gar nicht gespült. Mama hat dann mal mit mir geredet und gesagt, dass die Angst ein böser Geist ist, den man fest aus dem Herzchen rausschmeissen soll.
Pendant les jours de Noël, nous avons pu assister à une formidable conférence annuelle par Internet avec plusieurs milliers de membres de l’OCG du monde entier. Les prédications de mon père ont suscité en moi une nouvelle foi pour la situation mondiale actuelle et une nouvelle vision de travail pour 2021. Face à toutes les mauvaises nouvelles qui nous par-viennent chaque jour, mon père a une fois de plus brandi le « bâton de la foi » et prêché : Ce sont des douleurs d’accouchement !
L’une des principales révélations que nous avons pu recevoir grâce aux prédications d’Ivo, lors de cette année 2020 très spéciale, a été pour moi celle-ci : nous n’avons pas à juger une situation et un événement, qu’ils soient bons ou mauvais, mais nous pouvons avant tout accepter du Seigneur tout ce qui vient, avec gratitude. Il fait tout en tous et Il le fait aussi pour notre bien. Le voir à l’œuvre en toute chose, c’est génial ! Trop vite, nous considérons une situation comme négative...
Nous vivons une époque très intéressante. On ne sait jamais d’un jour à l’autre ce qui pourrait nous arriver et quelles lois vont soudainement nous voler encore plus de liberté. Parfois, je m’inquiète aussi de ce qui pourrait arriver si, à un moment donné, même les plus jeunes enfants sont exposés à des situations dans lesquelles ils doivent prendre les bonnes décisions tout seuls, sans leur maman.
En tant que père de quatre jeunes enfants, je dois toujours relever le défi de diriger ma famille en plus du travail, des services de l’OCG et bien plus encore. Après une dure journée, je souhaite d’autant plus pouvoir rentrer le soir dans une famille harmonieuse, où la relation entre nous est pleinement présente. Mais j’ai pu constater que cela ne se fait pas « tout seul », ou que ma chère épouse n’est pas la seule à pouvoir créer cette atmosphère de relation.
Jusqu’à aujourd’hui, j’ai pu expérimenter quatre accouchements. Chaque naissance a été différente et c’était à chaque fois une expérience absolu-ment unique avec le SEIGNEUR ! C’était tout simplement merveilleux ! Cependant, une chose est restée la même pour les quatre naissances c’est mon étonnement de voir d’où venaient soudain ces forces incroyables qui agissaient dans mon ventre ...
