Bonjour, j’ai récemment fait une belle expérience. A plusieurs reprises, je tourmentais mes frères et sœurs. Je leur donnais des noms bizarres et je les embêtais avec ça. Je voulais arrêter, mais je n’y arrivais pas. C’est devenu presque pire. Papa m’a fait venir au bureau et m’en a parlé.
Ce que je veux dire par là, c’est que c’est à NOUS d’utiliser cet HÉRITAGE, quelle que soit la manière dont le Seigneur le place sur le cœur de chacun d’entre nous. Il s’agit d’assumer la responsabilité de ce monde et c’est ainsi que l’énorme héritage qui est en nous éclate ...
Un samedi, j’étais dans la grande cuisine avec ma tante Boasa et j’ai épluché des carottes avec elle. Les carottes étaient toutes sales à cause de la terre. Chaque fois que nous enlevions la peau, la belle carotte orange apparaissait en dessous.
Je considère mon père comme un saint homme qui se tient devant Dieu nuit et jour. Je le comparerais au Suisse Nicolas de Flüe (1417-1487), qui a été officiellement canonisé en 1947.
Nous avons encore du mal à y croire et sommes très heureux d’avoir pu annoncer nos fiançailles lors de la Journée des Amis ! la question : « Qu’est-ce qui tient dans la vie ? » nous a toujours beaucoup touchés, Hanna et moi, au cours de l’année passée, lorsque nous avons commencé à nous connaître un peu plus. Notre souhait était d’éviter de porter les « lunettes roses » bien connues, qui peuvent nous changer complètement, au point de ne plus pouvoir percevoir l’ensemble ou notre propre entourage... C’est pour¬quoi nous avons commencé à construire notre relation sur une VISION que nous avons pu recevoir et sceller d’abord personnellement, mais aussi ensemble devant Dieu.
Abandonne-t-on quand quelque chose semble impossible ou persévère-t-on jusqu’à ce que l' »impossibilité » devienne une « possibilité » ? Josua te parle de sa vie quotidienne, de ce qu’il ressent lorsqu’il persévère dans de petites choses, comme par exemple s’exercer à la flûte, et qu’il n’abandonne pas lorsque c’est impossible. Que cela t’encourage aussi dans ta vie quotidienne !
Ces derniers temps, il m’est arrivé de me trouver dans une situation dé-sagréable avec notre adorable petite « Müüsli » (petit nom de Tiffany, notre fille de cinq mois) : Quand c’était le moment pour Tiffany d’être allaitée, au lieu de com-mencer à téter elle se mettait presque toujours à pleurer bruyamment juste devant le sein.
