Jean 11:26 « ... et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra point pour toujours. Crois-tu cela ? » C’est plus époustouflant et plus passionnant que le meilleur des films de cinéma lorsque nous sommes plongés dans ces incroyables dimensions. Il y a tellement de force sur ces mots qu’on peut littéralement sentir la puissance d’éveil en soi.
Que ce soit à minuit, à 3 heures du matin ou à 6 heures, les écrans de presque tous les passagers sont restés allumés toute la nuit avec des films policiers très violents. Même une dame âgée et sa fille, assises devant nous, ont regardé des films aberrants, à tel point que nous avons dû accrocher nos casquettes entre les sièges pour ne pas assister involontairement à des scènes que nous ne voulions pas voir.
J’avais toujours peur d’aller seul aux toilettes la nuit. Puis, un matin, maman m’a montré un petit film où un homme qui était autrefois très mé¬chant (on appelle ce genre de personne un « sataniste ») racontait quelque chose de très passionnant. Il a dit à quel point la PRIÈRE avait un pouvoir ABSOLUMENT puissant.
Puis-je te parler du Dieu créateur tel que je le vis au quotidien ? Ce Dieu que les élites combattent et calomnient jusqu’au sang avec tout ce qu’elles sont, disent et font ? C’est le Dieu à qui revient tout honneur et toute louange, de la part de tous les hommes, nuit et jour ! Sa gloire est indescriptible, Sa création si infiniment parfaite...
« La force de l’amour servira avec sollicitude aussi bien les personnes en bonne santé que les malades. Tout sera au service de la gloire de Dieu. (...) C’est le but qui se trouve toujours et éternellement au-dessus. Tout en Dieu. Toute chose rendra Dieu visible, par quelque moyen que ce soit. »
Pendant nos vacances, nous avons trouvé un bébé hérisson qui était très malade. Il se trouvait dans le petit bois près de chez nous et était entièrement recou-vert de fourmis. Je l’ai vite ramené à la maison. Je n’avais jamais vu un petit animal aussi mignon. Il était épuisé et respirait difficilement. C’est pourquoi j’ai tout fait pour remettre le petit hérisson sur ses pattes. J’ai tout de suite pris ce petit être dans mon cœur et j’ai cru fermement qu’il allait s’en sortir.
Pendant mon temps de silence, j’ai lu quelque chose et je l’ai noté : le serviteur d’Elisée a eu peur quand il a vu les soldats qui entouraient la ville. Elisée a alors prié et a dit : « Seigneur, ouvre les yeux de ce serviteur ! » En effet, bien qu’il y voie, il n’avait pas encore vu l’armée dans le ciel.
C’était un jour avant nos vacances. Kosima ne se sentait pas bien et elle a failli tomber malade, comme beaucoup d’autres à l’école.
Toi, Toi seul, Seigneur, Toi seul, Tu seras à jamais tout ce que je désire !
Mais le vent est devenu de plus en plus fort, et la joie des enfants s’est transformée en légère panique, car il devenait de plus en plus impos-sible de rester assis sur le vélo. Le vent se déchaînait. À gauche, devant nous, se trouvait le grand lac et à droite, la « grande étendue » non cultivée.
